Le soleil sur couche, sur l’ile comme ailleurs
Que peut on y faire ?
On aimerait le retenir, lui qui s’accroche avant de sombrer
dans la nuit
D’ailleurs il est là, envoie ses derniers rayons, montre sa
colère de disparaître en enflammant le ciel, pour que nous le regrettions plus
encore
Mais on ne l’arrête pas, et c’est la nuit
Il ne nous reste plus qu’à attendre patiemment que le jour
veuille bien se lever à nouveau