lundi 10 février 2014


Le soleil sur couche, sur l’ile comme ailleurs

Que peut on y faire ?

On aimerait le retenir, lui qui s’accroche avant de sombrer dans la nuit

D’ailleurs il est là, envoie ses derniers rayons, montre sa colère de disparaître en enflammant le ciel, pour que nous le regrettions plus encore

Mais on ne l’arrête pas, et c’est la nuit

Il ne nous reste plus qu’à attendre patiemment que le jour veuille bien se lever à nouveau